Tallulah Nedra

Je suis Née dans un cirque sur les routes près de beetletun. Notre cirque allait y faire une représentation. Arrivé sur place le directeur de notre cirque partit voir le duc de cette ville pour pouvoir y installer le cirque comme prévu. Le lendemain soir le chapiteau était monté et tout allait pour le mieux.

Malheureusement pendant la nuit certaines personnes de la ville voisine n’étant pas contentes que le cirque ne passe pas chez eux brûlèrent notre chapiteau et tous nos objets. Mon père et quelques autres hommes de notre cirque partirent sauver le plus de chose possible, seulement les villageois les attendaient et les tuèrent sans hésitation.

Le Duc de Beetletun se chargea le lendemain de donner aux rescapés un logement pour qu’ils puissent vivre. Seul ma mère l’a accepté car elle avait perdu tout jugement rationnel avec cette histoire. Elle m’éleva tant bien que mal en gardant des enfants pour pouvoir subvenir à nos besoins.

C’est alors qu’un jour le Duc demanda à ma mère de garder son enfant Maragor. Elle en avait entendu parler par les villageois mais décida quand même de le prendre seulement plus personne à partir de ce moment là ne lui redonna son enfant à garder. Je fis alors la connaissance du petit Maragor à l’âge de huit ans.

Il n’était pas méchant, et quand il venait à s'endormir dans son berceau, il était mignon à croquer, mais personne ne voulait rien savoir et plus aucune de mes amies ne m’approcha alors. Nous nous entendions bien ensemble et puis cela me permettait de jouer à la « maman » par moment cela me plaisait !Nous grandîmes ainsi ensemble, tissant des liens de jour en jour plus fort.

(Hrp:et oui j'ai enfin mit mon premier rp. Ne vous inquiétez pas les autres suivront mais pas tout de suite... lol!

)

Voici une petite gravure pour que vous puissiez me reconnaitre.

*pars en courant rougissant*

Ma mère mourut quand j'avais 24 ans. Je me remis du choc seulement cinq ans plus tard. Trois semaines après mon trentième anniversaire, je décidais de découvrir un peu le monde m'entourant et parti de Beetletun. Je dis au revoir alors à Maragor, pris mes quelques baguages et parti sur les routes...

Quatre jours après notre séparation j'eu un sentiment assez bizarre...à la fois du dégoût, mais je sentais aussi...comment dire qu'un problème allait survenir. En effet, un fois arrivée à la ville suivante, je me reconnut sur plusieurs affiches placardées un peu partout disant que si quelqu'un me voyait elle devait absolument prévenir les autorités. Je ne comprenait pas...
Je décidais alors d'aller moi-même aux autorités et de voir le problème.

J'y appris que Maragor n'avait pas supporté le fait que je sois parti, et surtout qu'il se laissait dominer par Bragnok ce qui engendra pratiquement la destruction d'un quart de Beetletun. Le duc voulait absolument me faire revenir pour que je puisse calmer Maragor. On m'y emmena en moins de trois jours. Je réussi à calmer Maragor petit à petit et au bout de deux journées il reprenait le dessus sur Bragnok. Je lui fit alors la promesse de toujours être la pour lui, de l'aider, le conseiller, et d'être comme une deuxième mère pour lui.

Nous continuâmes notre vie en se voyant au minimum un jour sur deux. Le temps passait et de plus en plus je me mit à tousser, puis mes articulations se bloquaient, finalement à l’âge de 46 ans sur le point de mourir, Maragor me persuadant de la catastrophe que je créerais à cause de son chagrin pour moi, Bragnok pourrait circuler librement dans le monde et Maragor serait perdu à jamais…Je lui demanda alors, d’accomplir le second rituel prohibé sur moi, à ses risques et périls.

Mon esprit se transféra dans le sien sans qu’il ne voit de différence, et alors mon corps se décomposa en quelques secondes. Croyant qu’il avait commis mon meurtre, il commença à perdre les pédales. Ce transfert m’avait épuisé et je ne puis lui montrer ma présence qu’une fois une bonne partie de la ville voisine détruite.

Quelques temps après je pus enfin me matérialiser le laissant dans un semi-coma qui dura moins de trois jours. Mon esprit et toujours relié au sien mais maintenant je peux me déplacer ou je veux et matérialiser une partie de mon corps lorsque je le souhaite pour embrasser, enlacer, porter etc...Plus le temps passait et plus je devenais la en quelque sorte sa mère, puis petit à petit la mère de chaque enfant du village puis avec mon vieil âge, pour moi tout le monde devint en quelque sorte mon enfant. Et maintenant pour moi tout le monde est mon enfant à part les rares personnes plus vieille que moi ou d'une entité différente, par exemple Sandolphan qui est un archange.

Sujet: Re: Tallulah Nedra Sam 11 Mar 2006, 01:44

Voici un nouveau bg pour une de mes perso.
J'espère que vous prendrez du plaisir à le lire tout autant que moi j'ai pris du temps, et beaucoup de plaisir à l'écrire et à y penser!! (trois heures à peu près pour tout écrire avec les pauses, les temps de réflexions etc...)

Sujet: Re: Tallulah Nedra Sam 11 Mar 2006, 01:48

Voici une histoire que personne ne connait et qui a été oubliée des gens
depuis déjà bien des temps. Seul en une partie du monde elle se répend toujours, une partie de notre monde que personne ne connait ni ne se rappelle.
Ce fut la réalité de ce qu'il se passa et de ce qui est maintenant...

Au Saint Royaume des Dieux, ceux-ci faisaient la fête et se félicitaient de
la création de notre monde. Bien plus tard une discorde fit rage. Seul les dieux eux-même en connaissent la raison. Alors quelques uns
s'en allèrent de leur royaume et partirent vivre sur terre avec les humains.

Ce lieu ne fut connu que par ceux-ci et furent
obligé de couper toute relation avec leur congénères. Ainsi dans cette
région, les humains vivent en harmonie, entre eux, la nature, les animaux
devenus géant par la présence des dieux, et les dieux eux-mêmes. Ceux-ci les protègent encore et toujours et se protègent en même temps en vivant dans cet endroit oublié de tous ou plus personne ne peut aller. Le temps passa et cet endroit nous
l'appelons maintenant la forêt de Boisecret, forêt perdu au yeux de tous.

Les dieux qui restèrent dans leur demeure n'oublièrent jamais la discorde, ni leurs frères
et soeurs partis sur terre, mais s'approprièrent pour eux tout seul les offrandes des humains et ceux-ci n'eurent jamais eu vent de la discorde. C'est ceux-ci que vous, connaissez. Balthazar, Grenth, Lyssa et bien d'autres qui vivent encore dans la demeure du Saint Royaume des Dieux

Sujet: Re: Tallulah Nedra Sam 11 Mar 2006, 01:50

Voici une prophétie, qu'évidement vous ne connaissez pas, et qui chez nous se transmet en la contant aux enfants avant de s'endormir comme étant une histoire fantastique.

Il est dit qu'un jour, dans le monde des dieux terrestres, naitrait deux filles. Celles-ci se ressembleraient physiquement, moralement et pourraient pratiquement être soeurs jumelles sachant qu'elles devaient naître aux mêmes moment. Seulement ces
deux filles sont ammenées à naître de couples différents. Ceux-ci ayant atteint un niveau d'évolution tel qu'il serait possible de les comparer à des demi-dieux sans pour autant qu'ils ne s'en rendent compte.

Ainsi, les deux filles porteront chacune un fardeau totalement différent l'une de l'autre. L'une amènera la prospérité à boisecret, tandis que l'autre amènera la malédiction. Le pouvoir de l'une annulerait le pouvoir de l'autre et inversement. Une fois nées notre
forêt connaîtra alors l'équilibre parfait et tout ira pour le mieux. Alors nous verrons les deux filles bien plus tard marcher ensemble main dans la main, l'une aussi belle que l'autre, peinant à croire que celle apportant la malédiction ne pourrait pas être cette charmante jeune fille d'une peau très noir tout comme ses cheveux et ses yeux d'un bleu plus clair que ceux du ciel ou même des lacs. La seule différence qui les distinguera sera leurs yeux. En effet l'une aura les yeux bleus et l'autre d'un marron très foncé pratiquement de la même couleur que ses cheveux ou même sa peau...
Voici donc un passage d'une de nos histoires dont celle-ci et la plus connu.

Sujet: Re: Tallulah Nedra Sam 11 Mar 2006, 01:55

Je suis donc née, dans la forêt de Boisecret, fidèle à la description de la fille de la félicité. Seulement la deuxième, ne naquit pas. Etant la fille de la félicité tout le monde s'accorda à me garder en vie même si personne n'annulait mon pouvoir. Et
puis le peuple se dit qu'avoir de la félicité ne pouvait qu'être bien.

A mon quatrième mois mes yeux changèrent brusquement de couleur et prirent alors le bleu clair de la fille maudite... Mes parents lors d'une balade dans la forêt me laissèrent
prêt d'un arbre et partirent sans rien demander de plus, m'abandonnant à l'âge de quatre mois. J'appris plus tard que mes parents moururent par ma malédiction.

Je fut recueillie et élevé par une louve. Il s'agissait d'une de nos déesse mais je ne le savais pas. Elle me nomma Moro et m'intégra dans son clan des loups ou plus communément appelé Kodama. Il s'agissait d'un clan sage et puissant. Grâce à mon intelligence elle m'appris le langage des loups mais aussi un langage bien différent de tous ceux connu. Celui de pouvoir montrer des images, de faire entendre des paroles à quelqu'un par le biais de la pensée. J'ai du apprendre à me concentrer à expulser mon esprit hors de mon corps et ne faire plus qu'un avec la nature et tout ce qui est vivant. Elle réussit à m'apprendre la magie élémentaire que je maitrisai très rapidement et qui
devint une activité tellement amusante et pratique pour moi que mes capacités de <<rodeuse>> comme vous les appelaient sont passées à un deuxième niveau.

Je vécu chaque jour dans le bonheur montant de jeunes loups fougueux, jouant, chassant, dormant. Je faisais vraiment tout avec eux. Pendant ma quatorzième année, ma malédiction grandissante, San ma pseudo mère et déesse n'arrivait plus à la ralentir et c'est alors que les catastrophe commençaient à survenir. Un loup se cassa une patte, puis des tensions commençaient. Je ne comprennais pas ce qu'il se passait.

San me garda quand même jusqu'au jour ou lors d'une chasse un jeune loup mouru à cause de moi et de ma malédiction. San m'emmena alors loin de tous et m'expliqua ce qu'elle était en réalité, la prophétie, l'histoire réel de mes parents, ce que je suis et ce qu'il arriverait si je persistais à rester dans la forêt.

Elle me révéla qu'en quittant boisecret, la malédiction ne me suivrait pas car, en dehors de celui-ci les dieux ne vivent pas avec les humains ce qui ne crée pas de déséquilibre. Elle me dit aussi qu'une fois sorti je ne pourrait plus jamais y remettre les pieds car je ne la retrouverai plus grâce au champs de force des dieux y habitant. Je partis pour sauver ce que j'avais de cher à mon coeur et arrivai dans ce monde désolé qu'est la
tyrie à 14 ans, bientôt 15......

Sujet: Re: Tallulah Nedra Sam 11 Mar 2006, 14:27

[HRP] Roh mais tu sais que je t'avais dit en classe qu'il fallait dire BG d'un perso pas RP on joue RP à partir d'un BG roooooh [/HRP]

Sujet: Re: Tallulah Nedra Sam 11 Mar 2006, 15:27

[HRP] Désolé je viens d'éditer le message mais je me rappelle plus de ce que tu m'avais dit en classe lol!

si tu peux aussi me rappeller ce que veut dire BG^^ [\HRP]

Sujet: Re: Tallulah Nedra Sam 11 Mar 2006, 15:46

Voici une petite image de Moro Kodama

Sujet: Re: Tallulah Nedra Sam 11 Mar 2006, 16:16

BG veut dire Background

Comtesse Nereyn

Qui sont mes vrai parents ? Comment sont-ils ? Quelle est ma date de naissance ? Quel âge ai-je vraiment ? Quels sont mes véritable nom et prénom? Quelle est ce gigantesque pouvoir que je sens couler en moi comme une vague douce et chaude mais que je n’arrive pas à exploiter ? Pourquoi les meurtres ne m’attriste pas plus que ça, ou ne me donne pas de regret ? Cette rumeur circulant sur moi est-elle vraiment fondée ? Mes parents auraient-ils vraiment été tués devant mes yeux ? Aurai-je vraiment invoqué l’un des plus puissants monstres de chair vers l’âge de trois quatre ans ? Impossible ! Pourtant lorsque je repense à cet événement je ressens une sorte de colère ou de haine incontrôlable, mais en même temps une sorte d’apaisement comme si je revenais au pays après l’un de ces mal que l’on a étant loin de notre contrée originel. Est-ce vrai que l’empereur a été le premier à me retrouver comme par magie et sans aucune histoire m’a adopté ? Pourquoi ne veut-il pas m’en dire sur les circonstances du moment ou il m’a trouvé ? Connaîtrait-il mes parents ? Ou bien ce pouvoir qui coule en moi ? Peut-être même toute l’histoire ?

A quoi est-ce que je pense ? Je suis Nereyn. J’ai 17 ans mais ce n’est pas mon âge réel. Il m’a été donné par mon père adoptif, l’empereur de Cantha, tout comme mon nom. Il me réserve depuis mon plus jeune âge à l’un de ses plus fervent ministre. Depuis que tout le monde le sait, on me nomme maintenant Comtesse pourquoi je n’en sais rien, mais cela reste.

Après mon adoption, je fus obligé de suivre des cours. On m’apprit comment manger, s’habiller, parler et se tenir devant la cour. On m’apprit bien d’autre manière. En même temps qu’on m’apprenait cela, dans l’ombre, je suivais un entraînement de maître assassin pourtant réservé à l’élite et aux personnes âgées au moins de 10 ans. Mon talent croissait, et je rejoignis vite les moins bons pour les dépasser finalement comme une flèche. Tous les yeux étaient tournés vers moi à chaque cour. Je voyais dans certain une peur, tandis que pour d’autres c’était de l’excitation. Vers onze douze ans j’arrivais dans les meilleurs et tous les regards étaient devenus sombres, vitreux à cause de la peur. Personne ne me parlait et même mon maître commençait à avoir peur je le sentais bien.

On m’attribua un nouveau maître et je continuais mon entraînement, tout en restant à la cour que je n’aimais pas vraiment. Les courtisans n’étaient tous que des charognes voulant toujours plus de pouvoir ou d’argent, disant du bien devant l’empereur, mais ne pouvant s’empêcher de le poignarder dans le dos.

Lors d’une mission à grand risque, mon maître mourut sans que je ne puisse l’aider. Il me dit alors qu’il me libérait et que je pouvais parcourir la nuit comme je l’entendais. J’appris par sa bouche aussi qu’il était alors le meilleur maître assassin du moment et, que par conséquent, je devenais l’héritière de ce titre.

J’arpentais seule la nuit, imaginant de nouvelles techniques. La magie de la mort m’apparu alors soudain sur le seuil de la mort. Sans rien faire ma vie revenait, mes blessures se soignaient à grande vitesse, tandis que les cadavres se consumaient et les humains n’ayant plus beaucoup de vie m’en donnaient sans en perdre. Cette découverte me fit tombé en dépression et je m’enferma dans ma chambre pendant une période de deux mois paraît-il. Finalement, je me suis décidé que cette magie était en moi, et que je ne pouvais la faire disparaître. Je me demandais de plus en plus si la rumeur me concernant n’était pas réelle.
Je recommençais mes sorties et m’exerçais à ces nouvelles compétences.

Je réussi à comprendre facilement comment l’utiliser. De moins en moins je fus blessé et j’assurais correctement ma fonction de femme, mais aussi de garde du corps auprès de mon mari. Les moments passés à la cour me donnaient de plus en plus l’envie de m’en aller et de découvrir le pays, de rester seule, de rencontrer de nouvelles personnes avec qui je pourrais réellement m’entendre et qui pourrait m’accepter comme je suis.

Bien évidemment mon « mari » que je ne considérai pas comme tel, mais plutôt comme une personne à défendre, ne su strictement rien de mes nouvelles capacités. Durant une balade dans les jardins du palais, une présence maléfique nous submergeait. Un mal aise s’installait en moi tandis que la présence ne cessait de grandir.

Une goutte de sueur coulait de mon front, puis deux, puis trois, affolé en mon être intérieur je tournais et me retournais, donnais des coups d’yeux rapide à droite, à gauche... Je transpirais à grosse goutte. Quelqu’un nous observait, j’en étais certaine, mais pour la première fois, je fus dépassé totalement en puissance, et en habileté surtout car pour arriver à émettre une telle aura mais réussir à ne pas se faire voir était un exploit. Du moins c’est ce que j’en pensais sur le moment.

Ce fut comme un coup de poignard pour moi. Réalisant que je n’étais plus la meilleure, la chair de poule me prit, l’adrénaline montée, mon ventre se crispait sous la peur.

*Trempé de sueur, haletante* Je m’éveilla en sursaut dans ma chambre. L’aura n’était plus là mais je ne puis m’empêcher de regarder à droite et à gauche comme après un cauchemar. Il faisait déjà jour... ou alors faisait-il encore jour... ? J’étais seule dans le lit. Rêve ou réalité ? Pour un rêve, cela me paraissait très réel. Pourtant si cela c’était réellement passé, pourquoi ai-je un trou de mémoire ? Comme la fin d’un rêve ou d’un cauchemar que l’on ne fini pas à cause du réveil

Comme à l’accoutumée, les servants s’inclinaient devant moi à mon passage et commençaient à me parler. Très vite je m’aperçu qu’il y avait une inquiétude dans leur intonation. Mais je n’en conclu rien.

Je parti présenter mon bonjour à mon mari. Il me posait les mêmes questions chaque matin. J’avais l’impression de recommencer chaque matin la même journée. Sauf que ce matin, il me dit que j’avais la possibilité de rester dans la chambre et de me reposer. Voulait-il vraiment que je me repose parce qu’il s’était passé et par mon trou de mémoire que je n’explique pas ou bien était-il vraiment sincère et me proposait tout simplement ce matin là de ne pas l’aider ?

Je m’habilla en hâte et parti fouiller le jardin de fond en comble, demandant aux gardes s’ils n’avaient vu personne. Il fallait que j’en ais le cœur net. La seule chose que j’ai trouvé c’était une pseudo aura maléfique près de l’endroit favori de mon mari. Je rentrais bredouille. Je me convaincu que ce n’était finalement qu’un rêve que j’avais fait.

Quelques jours plus tard lors d’une autre balade, l’aura se fit sentir mais d’une autre façon que d’en mon « rêve ». Des affligés sortaient du sol par dizaines... Ma riposte fut rapide. En une dizaine de minute j’avais réussi à les exterminer, mais mon mari avait été touché. L’aura diminua un petit peu, puis repris de l’ampleur. Elle s’intensifia toujours comme s’il n’y avait pas de fin. Les affligés arrivèrent par vingtaine, puis trentaine... J’étais dépassé... J’ai entendu un cri derrière moi. Mon mari venait d’être transpercé. Il vivait ses derniers instants.

Je l’accompagnai dans ceux-ci, puis parti très rapidement au cabinet de mon père adoptif pour le protéger. Nous réussîmes à nous en sortir. Je lui apportai la mauvaise nouvelle de la mort de mon mari. Il fit une triste mine, mais ce n’était pas le moment de se laisser aller par les sentiments, repris le dessus et donna des ordres pour gérer au maximum la situation.

J’aide depuis Togo pour éradiquer le fléau, mais je dois toujours tenir mes obligations en tant que fille d’empereur. J’assiste aux réunions et autres soirées à la cour même si cela m’énerve toujours autant...

J’espère bientôt trouver des compagnons de route ou bien des compagnons tout cour pour changer un peu ma vie...